Nouvel An 2023 : dans le monde entier, des festivités presque libérées du Covid-19


Malgré le retour en force de l’épidémie en Chine, de Sydney à Paris, de nombreuses villes ont vécu leurs premiers rassemblements de masse pour fêter la nouvelle année depuis le 31 décembre 2019.


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De l’Australie à l’Alaska, les huit milliards de Terriens laissent derrière eux, samedi 31 décembre 2022, les uns après les autres, une année mouvementée, entre la guerre en Ukraine, l’inflation et le sacre mondial de Lionel Messi, avant d’entrer pleinement en 2023.

Sydney a été l’une des premières grandes villes à sonner le glas de 2022, reprenant son titre de « capitale mondiale du réveillon » après deux années de fermetures et de festivités étouffées par le variant Omicron. Les frontières australiennes ont depuis rouvert et plus d’un million de personnes ont assisté sur le port de Sydney au lancement de plus de 100 000 engins pyrotechniques.

A Paris, un million de personnes se sont retrouvées sur les Champs-Elysées dans la douceur d’une nuit d’hiver anormalement chaude, à 15 degrés. Fin décembre 2021, face à la progression du variant Omicron, la mairie de Paris avait dû annuler le feu d’artifice et les concerts prévus.


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